10 choses à garder en tête quand j’apprends que mon homme regarde des pornos

Un jour, toute guillerette, vous ouvrez l’ordinateur que vous partagez avec votre compagnon pour aller vagabonder sur le net et par un désir manifeste de vous violenter l’esprit, vous voilà fouillant dans l’historique Internet de votre moitié ; c’est alors que comme prévu vous découvrez qu’il surfe régulièrement…sur des sites pornos ! Mais face à votre ego quelque peu balafré, vous optez finalement pour la raison, en vous rappelant ces dix faits.

1. Premièrement, il y a porno et porno.
Si les sites en question sont “traditionnels” (façon de parler), dites-vous que ça aurait pu être bien pire, puisqu’il aurait pu s’amuser avec Popol devant…non ce n’est pas la peine d’en dire plus.

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2. Quasiment tous les hommes le font.
D’après un sondage de l’IFOP pour le site CAM4.fr*, 17% des hommes français avouent en regarder un par semaine contre 29% aux Etats-Unis. Les autres évidemment sont en partie de gros menteurs qui n’osent pas révéler leurs pratiques solitaires devant les sondeurs.

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3. On n’est pas dupes.
Cette enquête de l’Ifop montre par ailleurs que la majorité des femmes (64%) savent pertinemment que leur partenaire regarde des contenus pornographiques.

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4. C’est leur moment à eux.
En effet comment aller à l’encontre d’une pratique qui nous accompagne tous depuis notre plus tendre adolescence. Mais vigilance toutefois à ce qu’elle ne soit pas systématique et que votre homme rejoigne les 36% ayant avoué avoir déjà préféré regarder un film X que faire l’amour avec leur partenaire. Même si là aussi, on peut les comprendre ! Car nous-même préférons parfois les plaisirs solitaires à l’étreinte. Ah ces pulsions !

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5. Ça leur permet d’évacuer le stress.
Trop stressé le voilà dans l’obligation quasi-psychique d’avoir une sensation physique encore plus forte. C’est ainsi qu’il s’offre un bref arrêt par la case “Jouissance” , laquelle va lui offrir, non pas 20000 francs mais une douche d’endorphines, l’hormone du bonheur et c’est ainsi qu’il continuera de sourire à votre couple.

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6. Ça leur permet de se libérer de leurs fantasmes.
Il y a fantasme et VRAI désir. Le premier étant quelque chose qu’on veut garder à l’état de “rêve”, le second une idée qu’on souhaite mettre en pratique. Or, certains hommes ont parfois des fantasmes un peu ou clairement “hard” qu’ils ne voudraient pas assouvir dans la vraie vie. Des idées dont ils peuvent se purger en quelques clics et grand bien leur fasse.

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7. Parce que les hommes ont une libido plus forte que la plupart des femmes.
Et ça, c’est scientifique, la faute à ses testostérones. En revanche, ça ne veut pas dire que les femmes ont forcément moins de libido ; la nôtre peut être même carrément plus importante mais là n’est pas le sujet.

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8. Beaucoup de couples en regardent ensemble.
Toujours d’après le sondage de l’Ifop, 55 % des Français aurait déjà regardé du porno en couple et 43% des Français auraient même déjà fait l’amour devant ! “Chéri c’est quoi cet écran 160 centimètres dans la chambre?” “Oh c’est pour nous donner l’impression de rentrer dans un club échangiste. Sympa non ?”

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9. Le porno comme une éventuelle source d’inspiration ?
D’après cette enquête, 47% des Français et 54% des Américains reconnaissent avoir déjà essayé de reproduire des scènes et des positions vues dans ces films. Monsieur va donc en fait à l’entraînement.

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10. On s’en fiche.
Evidemment ! C’est son jardin secret, nous avons le nôtre aussi, dont la terre est tout aussi fertile voire plus. Donc plongeons en saut de l’ange dans la compréhension, n’est-ce pas là une des clés d’une relation qui dure ? D’ailleurs, 77% des consommateurs de porno déclarent que cette pratique ne constitue pas un problème pour leur partenaire, tandis que seulement 12% ont été sommés d’arrêter de le faire, les pauvres.

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* Echantillon de 1050 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée, situation conjugale) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont eu lieu par questionnaire auto-administré en ligne (CAWI – Computer Assisted Web Interviewing) du 19 au 21 mai 2014.