5 choses à savoir sur Renée Zellweger, lauréate de l’Oscar de la meilleure actrice 2020

Plus d’un homme a succombé à son charme

Après avoir été en couple avec Jim Carrey de 1999 à 2000, qui ira jusqu’à la demander en mariage à l’été 2000, elle sort avec Matthew Perry en 2002. Après quoi elle fréquente brièvement….George Clooney ;  avant finalement de succomber au charme de Jack White, du duo The White Stripes, de 2003 à 2004. Puis en 2005, elle épouse le chanteur de country Kenny Chesney mais le mariage est annulé au bout de quatre mois. Après cela, la voilà au bras d’un autre musicien, l’Irlandais Damien Rice. Quelques longs mois de discrétion plus tard, elle réapparaît de juillet 2009 à mars 2011 aux côtés de…Bradley Cooper. Depuis 2012, elle partage sa vie avec le musicien Doyle Bramhall II.

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Elle a la Suisse dans le sang

Suissesse par son père, Norvégienne par sa mère, Renée Zellweger qu’on croit parfois à tort Britannique, a grandi au Texas. « Je connais mal le pays natal de mon père, mais j’ai la Suisse dans le sang.», a-t-elle confié au site helvétique Femina en septembre 2016. « Je ne serais pas la femme que je suis sans l’éducation que m’ont donnée mes parents, qui ont tous deux quitté l’Europe pour chercher une vie meilleure en Amérique. Ils m’ont appris qu’il faut travailler dur pour mériter son salaire et être heureuse avec ce que l’on possède. »

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Elle a disparu des radars pendant 6 ans

De 2010 à 2016, l’actrice s’est en effet « retirée » d’Hollywood et du star-system. « Epuisée » par une décennie passée sous la lumière des projecteurs, et suite à l’échec commercial du film My Own Love Song (2010), elle a donc voulu retrouver l’anonymat pour refaire le plein de véritables émotions ; « c’était le moment de m’enfuir », a-t-elle un jour expliqué dans un entretien au Times : « J’avais besoin de ne rien faire, de ne pas savoir ce que j’allais faire dans les deux ans. Je voulais laisser des accidents arriver. » Une période de transcendance personnelle au cours de laquelle elle a énormément voyagé et qui lui a fait le plus grand bien : « Je pouvais avoir des discussions avec les gens sur le plan humain, être vue et entendue, ne pas être définie par cette image préconçue de moi quand j’entre dans une pièce. » Et d’ajouter : « Nous ne pouvons être de bons raconteurs d’histoire si on ne vit pas d’expériences et qu’on ne peut s’identifier aux gens. » Elle signera son grand retour sous les feux des projecteurs en reprenant son rôle emblématique de Bridget Jones dans le troisième opus du film sorti en 2016.

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Elle a repris des études pendant sa pause

Renée Zellweger a expliqué, toujours dans The Times, qu’elle avait repris ses études durant sa pause, et qu’elle comptait les poursuivre. « J ‘étais intéressée par l’idée d’en apprendre plus sur la politique internationale, être mieux informée, voir si j’étais douée pour cela, loin des nouvelles de la télévision », a-t-elle ainsi confié, refusant toutefois de dévoiler l’institution où elle a suivi ses cours.  Une expérience « fantastique », a-t-elle ajouté.

Elle a toujours clamé que la maternité n’était pas un passage obligatoire pour une femme

« Etre mère n’a jamais été une ambition ; je ne me suis jamais projetée, du genre ‘Quand j’aurai 19 ans je ferai ci, et quand j’en aurai 25 je ferai ça’. Je me contente de prendre les choses au jour le jour, comme elles viennent », expliquait-elle dans les colonnes du Times en 2008. Huit ans plus, même son de cloche ! Interrogée sur la maternité à l’occasion de la sortie de Bridget Jones 3 dans lequel l’héroïne est enceinte et ne sait pas qui est le père ; l’actrice alors âgée de 47 ans, a confié ne toujours pas vouloir connaître les joies de la maternité et continuer à le vivre « très bien ».

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