Sexo : 3 bonnes raisons d’oser (plus) la fessée érotique

En 2012, l’institut de sondage IFOP dans un sondage réalisé pour Femme Actuelle révélait qu’une femme sur quatre avait déjà été fessée par son partenaire lors de relations sexuelles (24 % de répondantes contre 8 % en 1985). Depuis un certain Christian Grey est passé par là et le succès planétaire de « 50 nuances de Grey » a plus que jamais participé à la banalisation ce jeu coquin qu’on supputait pendant longtemps réservé à une frange minoritaire de la population aimant porter des masques et se réunir pour des délires orgiaques dans des châteaux à la campagne.

Fessée érotique : balade à la frontière du sadomasochisme

Une banalisation qui a permis de mettre la pratique en lumière et de favoriser clairement l’expression de son opinion sur le sujet, sans tabou ni gêne. C’est ainsi qu’il y a désormais deux camps, celles et ceux qui ne veulent pas en entendre parler et les autres déjà en train de tendre leurs fesses dans l’attente de ce châtiment corporel qui convertit la douleur en plaisir.  Se situant juste à la frontière du sadomasochisme, territoire que certain(e)s voudront découvrir en demandant de frapper plus fort, rappelons que la fessée n’a de sens évidemment que si elle est consentie.

En attendant d’y succomber ou pas, découvrez, dans notre diaporama, trois propos d’auteurs sur la fessée érotique.

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