Confinement et sexualité : et si on essayait la méthode Karezza ?

Il y a le rapport sexuel, qui selon une étude hollandaise, dure en moyenne 5 minutes et il y a son opposé…la Karezza. Cette pratique -mise au point en 1896 par le docteur Alice Stockham, désireuse alors d’aider ses patients à s’épanouir sexuellement – préconise en effet de prendre son temps, mais le prendre vraiment ; ça tombe bien, du temps on en a !

L’art de la caresse

S’adonner à la Karezza (« caresse » en italien), c’est en effet ne répondre qu’à la seule injonction de vous abandonner totalement à la sensualité et à la tendresse. Pour ce faire, nue et blottie contre votre partenaire, vous userez du plaisir inouï que peuvent procurer les caresses. Des doigts qui effleurent vos seins, son ventre, l’intérieur de ses cuisses, le long de votre bras, une bouche qui se pose sur votre cou…chaque recoin des corps faisant l’objet d’un traitement sincèrement doux auquel vous vous abandonnez pleinement.

Destination ocytocine !

Alors sachez-le, cette technique souvent associée au tantrisme, et qui s’apparente à un câlin de très longue durée, n’a pas pour ambition d’aller trouver l’orgasme. Car si ce dernier stimule la dopamine, un neurotransmetteur lié au plaisir, la méthode Karezza, elle, va déclencher une production d’ocytocine, surnommée l’hormone de l’amour ou de l’attachement. Ce qui oblige à la partager avec une personne de confiance, adéquatement votre amoureux. Ce dernier avec lequel vous pourrez avant et après discuter de l’expérience car c’est là, l’un des effets recherchés par la Karezza : améliorer la communication des…Lire la suite sur Biba Magazine

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