« J’ai fait ma tiny house toute seule » : Chloé raconte sa vie de nouvelle nomade !

Elles fleurissent un peu partout conjuguant nomadisme et minimalisme, les Tiny Houses  (littéralement « maisons minuscules ») séduisent de plus en plus.  Preuve de cet engouement, Google recense plus d’un milliard de requêtes sur le terme. Petite cabane perdue au milieu des bois, ou maison roulotte, symbole ultime de liberté dans une période de restrictions, la tiny house présente une surface très exigüe – entre 10 et 30 mètres carrés -, où tout est calculé au millimètre près. Il faut compter entre 35.000 et 45.000 euros pour une trentaine de mètres carrés. Ce à quoi il faut ajouter une taxe de 150 € par an, à la place d’une taxe foncière. Chloé a adopté la vie en tiny House. Elle témoigne.

Tiny House : comment est né le mouvement ?

Apparu il y a quelques décennies aux Etats-Unis, le mouvement des « tiny houses » a pris de l’ampleur avec l’ouragan Katrina en 2005 et surtout la crise américaine des subprimes en 2008. Ces Tiny Houses perchées dans les arbres ou entreposées au fond des jardins, sont en effet devenues une solution pragmatique pour les victimes de la crise banquière et financière, alors  incapables de rembourser leurs crédits. Des habitations qui revêtent donc des formes et tailles différentes, mais avec un point commun : l’utilisation optimale de l’espace et un agencement millimétré. Et vous, ça vous tente ?

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